Mardi 18 novembre 2 18 /11 /Nov 17:45

J'ai commencé dans ce style de vie en tant qu'échangiste. Mais au Club Cleopatre, je réalise à quel point fort a été mon désir de voir ma propre femme, tandis que d'autres hommes la baisent. Un homme l'a pris sur la table de billard devant tout le monde. Après, un autre homme l'a emmenée dans les toilettes pour une petite séance privée. Là, j'ai découvert le plaisir de candaulisme !
Publié dans : Couples candaulistes - Communauté : Couples candaulistes
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Commentaires

Oui le candaulisme, voir sa femme prise par un autre et jouir devant soit, rien de plus beau.
commentaire n° :1 posté par : Philippe le: 19/11/2008 à 00h12
meme vecu tres exactement ozidia@hotmail;com je fais un blog
commentaire n° :2 posté par : caud le: 13/12/2008 à 23h26
mon lien
commentaire n° :3 posté par : caud le: 14/12/2008 à 08h06
C'est un style de vie magnifique... Plus de jalousie.... Mari fidèle et épouse infidèle : c'est beau !
commentaire n° :4 posté par : simon le: 02/02/2009 à 22h14
Je la baiserais bien cette chienne ! c_mehdi91@hotmail.fr
commentaire n° :5 posté par : Mehdi le: 21/02/2009 à 21h28
tres belles et excitantes , espérons vous voir
rapidement, gros bisous partout
a bientot
commentaire n° :6 posté par : couple 35ans le: 09/03/2009 à 21h38
Et alors, la suite ... vite on attend
commentaire n° :7 posté par : FaZ le: 17/09/2009 à 23h19
j'ai suivi exactement le meme chemin, j'étaia allé avec ma femme ds un club aussi a paris, mais un autre que le tien, et j'ai éprouve un rare et intense plaisir a voir ma femme prise elle aussi sur une table par deux hommes a la file, puis apres ds une petite piece par un autre mec qui lavait draguee sur la piste de danse, on etait tous les trois et jai pu contempler ma femme ds toute sa jouissance quel bonheur, depuis mon plaisir cest de la voir jouir avec un ou des hommes et de la lecher apres en me branlant
commentaire n° :8 posté par : jeanrene le: 06/02/2010 à 10h12
j'ai eu meme réactions en club échangiste avec mon epouse chérie j'ai eu plus de plaisir a la voir se fare sautait qu'a sauter une femme
commentaire n° :9 posté par : jajun le: 30/04/2010 à 09h58
j'ai eu memes reactions que toi en voyant mon epouse en club (c'était au roi rêne)j'etais venu pour baiser d 'autres femmes mais quand j ai vu la minennejouir j'ai prefere la voir jouir avec dautres h etdepuis c'est devenu mon plaisir
commentaire n° :10 posté par : janfoutre le: 30/08/2010 à 13h10
moi aussi ça s est passe comme ça, et depuis que j'ai vu mon epouse jouir avec un autre homme je ne ch plus a coucher avec d autres mais uniquement a voir mon epouse avec dautres hommes et a^pres je la leches, je ne lui jamais été autant fidèle que depuis que je suis cocu , double bénéfice si je puis dire pour elle quia un mari fidèle et la permission d avoir des amants a son gout, donc nous les h sommes cons, non?
commentaire n° :11 posté par : jackpot le: 05/12/2010 à 08h59
maitenant je suis absolument accro a voir ma femme chérie avoir son plaisir avec des hommes bien montes(pas comme moi) je ne jouis que ds ces cas là quand ma chérie a son plein de jouissance devant moi
commentaire n° :12 posté par : jackpot le: 17/12/2010 à 13h11
a mon avisil n y a pas de plus grand plaisir pôur un homme marié que de vois son epouse avec un autre homme, jouir a fond et pour la femme c'est tout plaisir sans avoir a se cacher pour jouir a son gré
commentaire n° :13 posté par : jackpot le: 17/12/2010 à 13h13
moi ça s est passé aussi comme ça mais pas au cleopatre mais au roi rêne, depuis je ne baise plus dautres femmes car je preferre voir la mienne jouir avec dautres mecs et apres je la baise aussi
commentaire n° :14 posté par : jackpot le: 01/05/2011 à 16h54
he bien plus de commentaires???dommage
j'aimerais undialogue avec un confrère cocu comme moi donc
commentaire n° :15 posté par : jackpot le: 26/07/2011 à 10h16
Poème dédié à ma femme Nadia:

Oui, ma douce épouse et tendre chérie
Tu peux à n’importe quel moment
De la journée
De jour comme de nuit
Rejoindre tes amants
Tes amants chéris

Moi, je reste sagement à la maison
Tranquillement dans mon logement
Imaginant ces bites énormes
Ces zobs démesurés
Qui te dilatent
Qui t’engraissent
Qui t’épaississent
Qui te labourent
Qui te parcourent

Et quand tu seras complètement repue
Totalement gavée
Entièrement comblée
Tu me reviendras
Très tôt le matin
Souillée, suintant la sueur
Le sperme et tes propres jouissances

Devant la porte d’entrée
Je m’agenouille à tes pieds
J’embrasse tes orteils un par un
Et te remercie
De n’avoir pas oublié
De m’apporter
De m’offrir
Ma dose de sperme
De semence
Des restes du passage de tes amants
Passionnés et engoués
Exaltés et enflammés

Je renifle dans tes recoins les plus intimes
Ta fente malmenée toute la nuit
Je palpe ta rosette déformée, tes seins triturés
Ton string dégoulinant de sperme
Tu te plais à me raconter
Tes turpitudes longuement avec détails
Tu me décris tes ébats sexuels
Leurs longues bites
Que tu compares à des gourdins
Qui n’ont pas la taille du mien

Pourtant il y a peu de temps
Tu étais la femme d'un seul homme
Tes seins, tes reins, ta jolie petite chatte
N’avaient connu que moi
commentaire n° :16 posté par : lailatvx le: 30/08/2011 à 03h53
Jackpot nous pourrions parler si tu veut.
commentaire n° :17 posté par : Y le: 15/09/2011 à 11h11
Ma femme Nadia et moi avions loué un Riad à Marrakech pour y passer 2 semaines de vacances.
Le Riad était magnifique, il comportait un grand patio avec un toit transparent et qui pouvait s'ouvrir. La salle à manger, la cuisine s'ouvrait sur ce patio dont les quatre coins étaient occupés par des banquettes et de petites tables. Au rez-de-chaussée, il y avait l'appartement qu'occupaient Houria et Larbi, nos serviteurs. Au premier étage se trouvaient deux suites, l'une pour ma femme et moi et l'autre pour sa famille ainsi que le hammam.

Ma femme s'occupa tant bien que mal les 2 premiers jours. Elle partagea son temps entre les visites de Marrakech avec ses parents, les séances de bronzage sur la terrasse en compagnie de sa mère et de sa tante. Elle se masturbait tous les soirs dans sa chambre comme elle le faisait chez elle, chez nous.
Le 3ème jour, je proposai à tout le monde de faire une excursion en 4X4 dans le désert. Tout le monde accepta avec joie, sauf ma femme Nadia peu enchantée de passer 1 ou 2 jours en plein Sahara avec ses parents.
Nadia insista pour rester au Riad et ses parents cédèrent à sa demande. La présence du serviteur Larbi les rassurait. Tout le monde partit en début d'après-midi.

Ma femme s'offrit une séance de bronzage intégral sur la terrasse pendant que Larbi vaquait à ses occupations. Ils dînèrent ensuite tout les deux avant de rejoindre, lui son appartement, et elle sa chambre ou elle se livra, comme chaque jour à sa séance de plaisir solitaire.

Le lendemain matin, Nadia descendit de sa chambre en chemise de nuit. En fait de chemise de nuit, elle avait utilisé une chemise en coton de son père qui s'était révélée trop petite pour lui après le premier lavage. La chemise avait un pan à l'arrière qui descendait à peu près à mi-cuisses et l'avant lui couvrait à peine le pubis. Elle portait juste une petite culotte en dessous. Arrivée en bas de l'escalier, elle trouva Larbi qui faisait un peu de rangement dans le patio.
Quand il entendit le claquement de ses mules à semelles de bois sur le carrelage, Larbi se retourna et, après un instant de surprise devant la tenue de mon épouse, son regard s'assombrit.
- Bonjour, Larbi. Comment ça va ce matin ?
- Bonjour Nadia. As-tu bien dormi ?
- Oui, merci. Mon petit dej' est prêt ?
- Oui, mais…
- Mais ?
- Madame, tu ne devrais pas te promener comme ça. Si ton mari ou ta famille te voyaient, ils seraient très fâchés. Et puis, et puis… Et puis, nous sommes seuls et je… Je ne suis qu'un homme.
C'est à cet instant précis que ma femme commença sa longue carrière de petite salope. Elle accueillit d'un sourire carnassier les remontrances de Larbi. Sans plus y prêter d'attention, elle s'étira comme un chat, tendant ses deux bras vers le plafond, ce qui eut pour effet de dévoiler sa petite culotte aux yeux exorbités de Larbi. Puis elle avança vers lui, en roulant des hanches. Arrivée devant lui, elle le poussa doucement en arrière jusqu'à ce qu'il soit forcé de s'asseoir sur la banquette derrière lui. Elle se trouvait en position dominante et Larbi ne pouvait détacher son regard de cette petite culotte rouge comme l'enfer.
- D'abord, Larbi, mon mari est ton patron. Et quand il n'est pas là, ni ma mère, c'est à moi que tu dois obéir. D'accord ?
- Mais…
- Il n'y a pas de « mais ». Ensuite tu dis que tu n'es qu'un homme, et bien j'espère bien car je compte en profiter.
En se baissant, elle posa sa main sur la bosse que faisait le pantalon de Larbi et ajouta :
- Je crois qu'il y là quelque chose qui pourra me satisfaire.
- Madame Nadia, ce n'est pas bien. Si ton mari savait ça… protesta Larbi.
- Pourquoi veux-tu que mon mari soit au courant. De toute façon, je lui dirai que tu m'as forcée alors…
La menace était claire et Larbi se sentit pris au piège de cette gazelle. Il ne savait pas comment se sortir de cette situation. Il n'avait pas l'habitude des femmes mariées et élégantes qui l'avaient toujours impressionné. Il tenta une dernière protestation :
- Mais, madame Nadia, que se passera t'il quand tout le monde sera revenu ?
- Rien, absolument rien. A ce moment là, tu devras te contenter de ta femme Houria.
L'évocation de son épouse, fit faire la comparaison à Larbi entre sa femme et Nadia. Houria avait beaucoup grossi ces dernières années. Elle mangeait trop de pâtisseries traditionnelles, grasses et sucrées dont elle raffolait. Cette jeune fille qui s'offrait à lui en totale impudeur était sans conteste beaucoup plus séduisante et il avait envie de la baiser. Il envoya sa main sur la cuisse lisse et ferme, et la caressa doucement avant de remonter vers la petite culotte rouge. Il bandait énormément et son pantalon grossissait à vue d'œil. Mon épouse se laissa peloter un peu avant de retirer la main qui lui caressait les hanches et de s'éloigner.
- Doucement, Larbi, je n'ai pas envie maintenant. Sers moi mon petit déjeuner.
Larbi s'exécuta frustré, se retenant de jeter Nadia sur une banquette, de lui arracher sa chemise et sa culotte et de la baiser comme elle se méritait.

Son petit déjeuner avalé, mon épouse remonta dans sa chambre et y passa le reste de la matinée. Elle déjeuna vers midi. En début d'après-midi, elle sortit en demandant à Larbi de préparer le hammam pour dix-huit heures et sortit pour se rendre à la piscine.
Nadia rentra vers dix-huit heures. Larbi l'attendait au premier étage et lui dit que le hammam était prêt. Elle entra dans la salle de massage et se déshabilla sous les yeux de Larbi. Elle pénétra dans la salle chaude et appela Larbi. Elle lui demanda de la laver. Elle se laissa enduire de savon noir, frictionner au gant de crin et rincer avec l'eau tiède. Toutes ces ablutions avaient rendu Larbi fou de désir, toucher ce corps juvénile, le frictionner au savon à mains nues, l'excitait terriblement. Il bandait comme un âne et ne pouvait dissimuler la bosse que présentait son pantalon, il n'y pensait même pas d'ailleurs. Nadia savourait cet instant, elle se rendait compte du pouvoir qu'elle avait sur cet homme et en tirait elle aussi une forte excitation.

Une fois lavée, frictionnée, ma femme alla s'étendre sur la table de massage et demanda à Larbi de la masser. Il pétrissait la chair ferme de la jeune fille avec ses mains enduites d'huile parfumée, avec ses pouces il massait l'intérieur des cuisses que Nadia avait largement ouvertes, remontant jusqu'au pli de l'aine, frôlant le pubis soigneusement épilé. Il avait devant les yeux, ce bel abricot qui gonflait de désir, sa queue tendue, gonflée lui faisait mal. Au bout de quelques minutes, ivre de désir, il posa ses lèvres sur le joli fruit mûr qui ne demandait qu'à être cueilli. Nadia gémit de bonheur de sentir, pour la première fois de sa vie, une bouche avide fouiller sa fente, elle gloussa quand la langue de Larbi s'introduisit dans son antre mouillé, elle poussa un petit cri quand cette même langue titilla son clitoris qui n'avait jusqu'alors connu d'autre contact que celui de ses propres doigts et rarement ceux de son mari (moi). La caresse était douce et elle gémissait de bonheur en ondulant doucement sous les coups de langue de Larbi. Elle eut un orgasme et laissa parler son corps qui se déhanchait pour rechercher encore plus fort cette langue qui la ravissait.

Après avoir repris ses esprits, ma femme constata que Larbi se tenait toujours debout au pied de la table. Il n'avait pas osé aller plus loin même si sa queue ne rêvait que de perforer cette jouvencelle.

Nadia fit allonger Larbi sur la table. Elle le déshabilla. Larbi avait le corps recouvert d'une importante pilosité et elle joua à faire courir ses doigts dans la toison de sa poitrine. Puis elle fit glisser son pantalon de toile légère. Elle tata la bosse de son slip avant d'y glisser sa menotte. Larbi gémit de plaisir de sentir son zob emprisonné dans la main de sa jeune patronne. Nadia le branla légèrement, elle sentait ce membre gonfler encore dans sa main. Elle fit glisser le slip et elle prit la queue entre deux doigts délicatement. Le gland à nu était gonflé, rose foncé, violacé. Elle regarda ce qu'elle tenait entre ses doigts comme on examine un fruit inconnu, avant de le déguster. Elle posa ses lèvres sur le gland, le goûta de la pointe de sa langue, le lécha tout entier avant de le mettre dans sa bouche. Elle commença à pomper consciencieusement son amant, comme elle l'avait vu faire dans les vidéos pornos dont elle agrémentait ses séances de plaisir solitaire. Elle l'avala profondément, elle s'était entraînée à cela avec son vibromasseur. Larbi n'en pouvait plus. Jamais sa femme Houria ne l'avait sucé et seules les putains qu'il avait autrefois fréquentées suçaient de cette façon. Il tenta de prévenir Nadia que sa résistance atteignait ses limites, il essaya d'éloigner la bouche de la jeune femme de son chibre qui aller exploser, mais mon épouse résista et continua sa fellation. Larbi se vida dans la bouche qui le torturait, en de longs jets de sperme, puissants qui atteignirent le fond de la gorge de Nadia. Passés les trois ou quatre premières salves, il ne restait plus qu'un écoulement plus faible, qu'elle reçut sur sa langue.

Nadia aima la puissance de ces jets, évocateurs de la puissance du plaisir masculin. Elle aima aussi la saveur salée, grasse de la semence et avala tout. Elle continua de pomper et de branler Larbi jusqu'à ce que la source se tarisse et que la verge qu'elle tenait à pleine main perde peu à peu de sa consistance.

Larbi était exténué de cet orgasme violent, libérateur qu'il contenait depuis le matin. Il était aus
commentaire n° :18 posté par : lailatvx le: 16/09/2011 à 02h32
moi aussi, je rêve de'offrir ma femme à d'autres mâles...mais elle ne veut pas en entendre parler. J'aimerai la voir jouir sous les coups de queues d'autres hommes qui la sodomiseraient, la baiseraient et se videraient en elle, partout et j'adorerai, lors de son retour la lécher et m'enivrer des spermes mélangés de ses étalons.
commentaire n° :19 posté par : seniordu33 le: 30/10/2011 à 21h53

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